Chez Tinder, pas de place pour les plans à trois.
À voir aussi sur Konbini
Ca chauffe chez Tinder. L’application de rencontres via smartphone, qui compte plusieurs dizaines de millions d’utilisateurs à travers 30 langues disponibles, a porté plainte contre une application concurrente au nom très similaire, 3nder. La cause ? “Infraction à la législation sur les marques.” En gros, Tinder n’a pas aimé que 3nder, dont l’objectif est d’organiser virtuellement des plans à trois (trois personnes qui peuvent discuter en même temps), comporte un nom trop proche du sien. De “Tinder” à “Threender”, il n’y a qu’un procès.
L’application, propriété du groupe Match.com, demande ainsi la fermeture de son concurrent afin “d’éviter toute confusion” pour la simple et bonne raison que 3nder bénéficierait, en parallèle, d’un “avantage indu”. En réaction, 3nder, fort de ses huit employés, a accusé Tinder d’utiliser une “arme nucléaire” contre un concurrent. Décidée à ne pas se laisser faire, l’application a réagi sur les réseaux sociaux.
En premier lieu en affirmant que Tinder n’avait jamais rien reproché à Grindr, une autre application de rencontres au nom très proche, puis dans un deuxième temps en demandant à ses utilisateurs de publier des photos de leurs chaussettes accompagnées du hashtag “#Tindersuckmysocks” (aka “suce mes chaussettes, Tinder”) afin de se moquer de l’attaque en justice.
Quelques internautes ont répondu à l’appel, signifiant que 3nder n’avait aucun rapport avec Tinder.
Chargement du twitt...
Chargement du twitt...
Chargement du twitt...
Chargement du twitt...