J’ai envie de voir ce qu’ils ont à l’intérieur, de leur imaginer un intérieur, une âme.
À voir aussi sur Konbini
Le lien entre destruction et précision du dessin est pour lui “inévitable” :
Sans une maîtrise technique et le souci du détail ce serait, d’après moi, moins intéressant.
Même si beaucoup d’autres artistes l’ont déjà fait, donner une apparence étrange, urbaine et onirique change radicalement l’univers du personnage. L’implanter dans un autre monde nous révèle d’autant plus ce qu’il est. Ça me rappelle la fin d’un épisode des Simpson dans lequel Homer se retrouve dans notre monde “réel”.
Côté références, PEZ est prudent : “Il faut que ça me parle sinon je ne prends pas de plaisir à les réaliser. La base est très importante. J’ai redécouvert les classiques de Disney avec ma fille et je suis toujours bluffé par la qualité de ces oeuvres”. Le graphiste n’hésite pas à souligner la part d’ombre de la pop culture :
La pop culture engrange des choses phénoménalement merdiques, mais aussi les plus grands chefs-d’oeuvres de ce monde. Ce n’est finamement qu’une caricature de notre société.