Les preuves sont accablantes
Lorsque l’on se penche sur les vidéos de cette communauté d’illuminés d’enquêteurs, les preuves s’empilent en moins de temps qu’il n’en faut pour dessiner un symbole maçonnique : les traits physiques, tout d’abord, qui diffèrent du tout au tout entre les années 2000 et 2016 ; les déclarations, ensuite, de la star, qui avoue finalement que son alter ego scénique Sasha Fierce, qu’elle utilise depuis 2008, n’est “pas elle-même” et qu’elle fait des choses “qu’elle ne ferait jamais normalement” ; son étrange comportement, enfin, lors d’un match de basket, qui prouve sans aucun doute qu’elle est un clone, ou plusieurs, ou un androïde, voire un reptilien, on ne sait plus trop.
Cette théorie, si farfelue qu’elle soit, légitimerait néanmoins une chose: l’hyperactivité de la chanteuse-productrice-réalisatrice, qui ne trouve d’explication rationnelle que dans l’ubiquité. Peut-être même, écrit le Daily Dot, que la fameuse Becky de Lemonade, avec qui Jay Z aurait commis le péché d’infidélité, n’est autre qu’un des clones de sa femme. Ou bien, comme l’explique un long papier de Fusion, n’est-elle que la personnification d’une Amérique blanche, bien née et propre sur elle. Ce qui, avouons-le, est quand même autrement plus intéressant qu’une banale histoire de clones de stars créés à la chaîne dans des bases secrètes gérées par les Illuminati.
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