Banksy rend hommage aux tours du World Trade Center

Banksy rend hommage aux tours du World Trade Center

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Banksy rend hommage aux deux tours du World Trade Center

Le 3 octobre : 24 h pour deux détériorations

4 octobre : contre-offensive de Banksy

5 et 6 octobre : Numérique et techniques mixtes

7 et 8 octobre : Des références au passé

11 octobre :  payer pour voir

Tout a commencé par une photo téléchargé sur un site : on est témoin d’un pochoir de Banksy dans lequel un rat est à côté d’un poteau renversé. Une fois la localisation “exacte” de l’oeuvre trouvée, la chasse au graff a débuté ans les rues de New York. Cette ruée (c’est à l’est du quartier de Brooklyn que le pochoir se trouve) aboutit à un rebondissement : une fois arrivés sur place, au 272-290 Bradford Street – East New York, les spectateurs ont été confrontés à un groupe de jeunes hommes.
Comme le rapporte, non sans ironie, le magazine Gawker, ce groupe, posté devant le mur, a fait payer les badauds pour voir la dernière pièce de l’artiste britannique.

Si le magazine annonce un prix de cinq dollars, la publication Gothamist assure que les enchères ont désormais grimpé jusqu’à 20 dollars pour un simple coup d’oeil. Et précise qu’avant de rendre la “contemplation” de l’oeuvre payante, les deux jeunes hommes avaient essayé, en vain, de “retirer” le pochoir de son support d’origine au burin.
Pour être complet sur le sujet, rappelons qu’en marge de cette annonce, la nouvelle oeuvre de Banksy (pas encore dévoilée) semble avoir été découverte en avant-première : un camion rempli de peluches se promenant dans les rues de la ville. Le jeu de piste n’est pas encore fini.

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L’homme, originaire de Chicago, voulait seulement “quelque chose pour [ses] murs” histoire de décorer son chez soi. Il est reparti avec trois œuvres de Banksy pour la modique somme de 240 dollars. Soit 80 dollars la pièce. Le monsieur est l’un des seuls (avec deux autres personnes) à avoir pris le “risque”, en pleine rue, d’acheter des œuvres du street-artist. Ce dernier a élevé un stand en relation avec sa résidence d’un mois dans la Grosse pomme, comme le précise The Telegraph.
Une néo-zélandaise est aussi repartie deux petites peintures en dépensant 120 dollars tandis qu’une autre femme a réussi à offrir à son enfant, en diminuant le prix de moitié (marchandage oblige), une œuvre pour même pas 60 dollars. Et quand on regarde des vidéos “de surveillance”, on ne sait pas s’il ont conscience qu’ils s’offrent du Bansky et que leur achat pourrait se revendre des milliers de dollars sur le marché de l’art. Certains auraient une valeur tournant autour de 160 000 euros.
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